Dès le réveil, en partant le matin, un choix :
Voir le monde au travers les barreaux de ma prison ?
La peur, la crainte de l’avenir, les contraintes, les retards, les transports, les RDV et rencontres, les tristes sires, les agressifs, les tendus…
Tous obscurcissent ma vue. Tout est noir.
Je regarde mes pieds, je me prends un arbre